Avant/Après : Neuf, ce penthouse en duplex a dû être réaménagé
Ils ont acheté un appart sur plan, mais à la première visite, ils sont très déçus et appellent une pro à la rescousse
Ils avaient acheté l’appartement de leurs rêves sur plan et, après deux ans et demi d’attente, ils visitaient enfin leur bien pour la première fois, à l’occasion de la visite des plâtres six mois environ avant la fin du chantier. Mais ce moment d’euphorie a viré à la consternation pour ce couple ! « Les propriétaires m’ont contactée en panique. Ils avaient fait l’achat d’une vie : un duplex en penthouse, le bijou de la promotion, avec vue sur Montmartre. Ils s’attendaient à un appartement rayonnant de lumière avec de larges volumes. Au lieu de ça, il leur a paru étriqué, les volumes étaient largement cloisonnés, sombres en partie… Autre problème d’importance pour mes clients qui travaillent tous les deux dans la mode : le manque criant de rangements ! Ils déménageaient car ils craquaient dans leur précédent appartement, mais ne voyaient absolument pas comment caser leurs affaires dans ce nouveau logement… », résume Lara Grand, l’architecte d’intérieur qui a eu la périlleuse mission de réaménager cet appartement neuf afin de faire éclore le potentiel incroyable de ce logement d’exception, pressenti par les propriétaires à l’achat.
Coup d’œil
Qui vit ici : un couple de quadragénaires et leurs deux enfants
Emplacement : rue Curial, dans le 19e arrondissement de Paris
Superficie : Duplex de 95 m² avec terrasse et rooftop de 83 m²
Date de l’achat du Vefa : 2016
Études : septembre à décembre 2018 (date de livraison du Vefa)
Date des travaux : janvier à avril 2019
Architecte d’intérieur : Lara Grand de Lara Grand Studio
Budget rénovation appartement : 65 000 euros hors mobilier dont 35 000 euros pour la menuiserie sur mesure
Crédits photos : Marcela Barrios
Coup d’œil
Qui vit ici : un couple de quadragénaires et leurs deux enfants
Emplacement : rue Curial, dans le 19e arrondissement de Paris
Superficie : Duplex de 95 m² avec terrasse et rooftop de 83 m²
Date de l’achat du Vefa : 2016
Études : septembre à décembre 2018 (date de livraison du Vefa)
Date des travaux : janvier à avril 2019
Architecte d’intérieur : Lara Grand de Lara Grand Studio
Budget rénovation appartement : 65 000 euros hors mobilier dont 35 000 euros pour la menuiserie sur mesure
Crédits photos : Marcela Barrios
Avant. Lors de la visite des plâtres, le couple a été séduit par le séjour qui occupait les derniers étages de l’immeuble et s’ouvrait sur une vaste terrasse de 83 m². En effet, la pièce était grandiose avec sa double hauteur sous plafond et sa baie vitrée au sud-ouest offrant une vue dégagée jusqu’au Sacré-Cœur.
Mais passé cette émotion, il y avait tout de même des éléments qui les chagrinaient. « L’intérieur n’était pas raccord avec les prestations extérieures. Ils imaginaient un penthouse avec de vastes volumes mais ils l’ont trouvé par endroit étriqué, avec des rapports non proportionnels entre les pièces. C’est comme s’il n’y avait eu aucun travail d’architecture intérieure pour prolonger les choix de gros œuvre de l’architecte de la promotion », explique la pro.
Mais passé cette émotion, il y avait tout de même des éléments qui les chagrinaient. « L’intérieur n’était pas raccord avec les prestations extérieures. Ils imaginaient un penthouse avec de vastes volumes mais ils l’ont trouvé par endroit étriqué, avec des rapports non proportionnels entre les pièces. C’est comme s’il n’y avait eu aucun travail d’architecture intérieure pour prolonger les choix de gros œuvre de l’architecte de la promotion », explique la pro.
Après. Le séjour de 27 m² était très lumineux mais finalement assez exigu pour un duplex de 92 m². Les propriétaires pointaient également le manque de cohésion de l’ensemble : hormis la double hauteur près de la baie vitrée, partout ailleurs le classique 2,50 m était de mise.
Avant. Le reste du premier niveau, soit 50 % de sa surface, composé par les toilettes, salle de bains, cuisine et escalier, était par ailleurs cloisonné en petites pièces. Que l’exposition est et nord-est peinait à rendre lumineuses…
« Les normes PMR* en vigueur dans les immeubles neufs imposent des inconséquences : une salle de bains en bas tandis que les chambres sont en haut et des surfaces de retournement pour fauteuil roulant dans les toilettes et salle de bains qui font perdre une place énorme. De ce fait, la cuisine était plus petite que ces pièces réunies… », ajoute Lara.
*PMR : Personne à mobilité réduite
« Les normes PMR* en vigueur dans les immeubles neufs imposent des inconséquences : une salle de bains en bas tandis que les chambres sont en haut et des surfaces de retournement pour fauteuil roulant dans les toilettes et salle de bains qui font perdre une place énorme. De ce fait, la cuisine était plus petite que ces pièces réunies… », ajoute Lara.
*PMR : Personne à mobilité réduite
Après. Le maître mot de la rénovation orchestrée par la pro a été « décloisonnement » car il fallait faire absolument pénétrer la lumière depuis la baie principale jusqu’au fond de ce niveau.
« Mes clients étaient anxieux quand je leur ai annoncé qu’on allait abattre toutes les cloisons du rez-de-chaussée. Ils craignaient que cela prenne des semaines, sans compter le gâchis et les frais engendrés par la destruction de murs à peine terminés… », explique la jeune femme qui a su les accompagner avec bienveillance et répondre à tous leurs doutes et interrogations.
« Mes clients étaient anxieux quand je leur ai annoncé qu’on allait abattre toutes les cloisons du rez-de-chaussée. Ils craignaient que cela prenne des semaines, sans compter le gâchis et les frais engendrés par la destruction de murs à peine terminés… », explique la jeune femme qui a su les accompagner avec bienveillance et répondre à tous leurs doutes et interrogations.
Avant. Pour l’heure, le souci de l’architecte d’intérieur était l’escalier. Le promoteur avait refusé qu’elle se rende sur les lieux avant la remise des clés et il fallait donc travailler sur ses plans d’origine, enrichis de quelques photos prises par les propriétaires à la première visite. « Nous avons travaillé un peu à l’aveuglette, jusqu’au jour de la livraison où nous avons pu vérifier les côtes exactes ! », raconte Lara.
Après. Car outre le problème de lumière évoqué, les propriétaires manquaient de stockage et le décloisonnement imposait de pouvoir loger les rangements ailleurs que sur les murs !
« J’ai alors imaginé me servir de l’escalier comme d’une colonne vertébrale qui structurerait les circulations. Je l’ai également habillé de rangements sur trois faces avec un dressing d’un côté, un placard à chaussures de l’autre et un linéaire de cuisine sur la troisième. Le couteau suisse de l’appartement en somme ! », résume Lara.
« J’ai alors imaginé me servir de l’escalier comme d’une colonne vertébrale qui structurerait les circulations. Je l’ai également habillé de rangements sur trois faces avec un dressing d’un côté, un placard à chaussures de l’autre et un linéaire de cuisine sur la troisième. Le couteau suisse de l’appartement en somme ! », résume Lara.
Il n’a fallu qu’une journée pour faire tomber toutes les cloisons de ce niveau et faire irradier la lumière depuis le salon jusqu’à la cuisine, ce qui a considérablement changé la perception des lieux.
Lara a gardé les toilettes à l’entrée et en a profité pour caser le coin buanderie avec lave-linge et sèche-linge dans leur volume immense. En revanche, elle a supprimé la salle de bains du premier niveau, conservant uniquement celle qui se trouvait à l’étage, près des chambres.
On distingue ici le rangement sur mesure qui a habillé un des côtés de l’escalier. Ce grand placard de 60 cm de profondeur assure le rôle de dressing d’entrée et permet aussi, le cas échéant, de ranger de la vaisselle pour la cuisine contiguë.
Lara a gardé les toilettes à l’entrée et en a profité pour caser le coin buanderie avec lave-linge et sèche-linge dans leur volume immense. En revanche, elle a supprimé la salle de bains du premier niveau, conservant uniquement celle qui se trouvait à l’étage, près des chambres.
On distingue ici le rangement sur mesure qui a habillé un des côtés de l’escalier. Ce grand placard de 60 cm de profondeur assure le rôle de dressing d’entrée et permet aussi, le cas échéant, de ranger de la vaisselle pour la cuisine contiguë.
En entrant dans l’appartement, on tombe désormais sur la face de l’escalier recouverte de cases, égayées de graphismes triangulaires. « Nous avons utilisé le couloir existant pour créer un placard sur toute la surface de la cloison de l’escalier. Il mesure 17 cm de profondeur et abrite plus de 80 paires de chaussures ! », explique Lara.
Dans cet appartement où une grosse partie du chantier a consisté à optimiser l’espace avec de la menuiserie sur mesure, ce placard a d’ailleurs été l’un des plus gros casse-tête pour le menuisier. « La difficulté de réalisation est venue des prises de doigts en alternance dans les angles. Il a aussi dû adapter des systèmes compas pour que les étagères s’ouvrent et se bloquent », explique la pro.
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Avant. Les Vefa (Vente en état futur d’achèvement) — nom officiel des appartements achetés sur plan — sont souvent livrés avec une cuisine basique, voire pas de cuisine du tout. Celle proposée par Nexity dans ce penthouse familial haut de gamme n’était clairement pas en rapport avec le standing auquel s’attendaient les propriétaires : « C’était une pièce cloisonnée et sombre de 8 m² avec un linéaire minimum face à un mur, dans laquelle on ne pouvait même pas mettre de table car elle aurait gêné le dégagement de la porte battante… », s’en étonne encore Lara.
Après. Une fois l’espace décloisonné, l’architecte d’intérieur a sauvé la mise de départ en proposant cette implantation avec deux linéaires pour composer au mieux avec les contraintes de l’espace : « Idéalement j’aurais souhaité une grande cuisine en L mais à ma première visite, soit six mois après le début de ma mission, j’ai constaté qu’une nourrice se nichait derrière l’escalier et non sur le mur en face que j’aurais voulu occuper… J’ai donc changé mes plans pour dissimuler cet élément technique de 40 cm de long sur 10 de large qui sert à alimenter l’appartement en eau. »
Avant. La salle de bains ci-dessus (5 m²), un placard (2,2 m²), un bout de couloir (2,7 m²) et la cuisine d’origine (8 m²) ont été décloisonnés. Rattachée à la pièce de vie, cette superficie de 18 m² a permis de loger la nouvelle cuisine et le coin salle à manger sur les 50 que compte le niveau bas de l’appartement.
Après. Mémoire de cette ancienne implantation, le sèche-serviettes de la salle de bains a été reconverti en sèche-torchons.
La cuisine a été composée sur la base de caissons Ikea, équipés de façades Superfront bleu gris et rehaussées par un plan de travail en terrazzo qui se prolonge sur la crédence. Un matériau des plus tendance qui a séduit les propriétaires !
Façades : Superfront, Aerugo Green ; Poignées : Superfront, Holy Wafer laiton
La cuisine a été composée sur la base de caissons Ikea, équipés de façades Superfront bleu gris et rehaussées par un plan de travail en terrazzo qui se prolonge sur la crédence. Un matériau des plus tendance qui a séduit les propriétaires !
Façades : Superfront, Aerugo Green ; Poignées : Superfront, Holy Wafer laiton
« Ce terrazzo est une résine minérale coulée agrémentée de quartz orange et vert. Il a été coupé en tranches par un marbrier et préparé avec une finition dite “adoucie”, soit mate. On pourrait la croire poreuse car elle est veloutée au toucher mais elle est moins fragile qu’une finition brillante, sujette aux taches de vin blanc ou d’huile. Ce matériau est magnifique et moins cher que du grès cérame ou du quartz », estime Lara Grand.
Plan terrazzo : chez Carrément Victoire
Plan terrazzo : chez Carrément Victoire
Les propriétaires ont choisi d’agrémenter le côté évier avec un timbre d’office et une cave à vin de service.
Le coin salle à manger, le plus éloigné de la grande baie vitrée, a pleinement bénéficié du décloisonnement du niveau. Là où la famille aurait dû manger serrée dans une petite cuisine sombre, elle peut aujourd’hui prendre ses repas avec une perspective large sur la pièce de vie, sa grande et lumineuse baie vitrée et sa vue sur Montmartre.
Table à manger : La Redoute Intérieurs
Table à manger : La Redoute Intérieurs
Après le décloisonnement, les points d’éclairage faisaient défaut sur le plafond et il était impossible de réaliser des saignées dans le béton. Pour éclairer le coin repas, Lara a eu l’idée d’une lampe potence en applique en faisant créer un point d’éclairage sur un coffrage technique.
Éclairage potence avec bras pliable : It’s about Romi, Chicago
Éclairage potence avec bras pliable : It’s about Romi, Chicago
Les propriétaires avaient un cahier des charges très précis au niveau des rangements. Travaillant tous deux dans la mode, ils avaient beaucoup de vêtements, chaussures et livres, principalement des ouvrages d’art et de voyage. Une colonne technique existante, mal placée côté séjour, a servi de point de départ à la réflexion de l’architecte d’intérieur.
Elle l’a fait entièrement habiller de rayonnages arrondis, fermés en partie basse, afin de créer une grande bibliothèque. Peinte dans un rose mat très pâle, elle esquisse un semi-cloisonnement qui structure l’espace entre la salle à manger et le salon.
Sur sa droite, au-dessus de la baie, Lara a fait placer un écran de vidéoprojection dissimulé dans un carter blanc lorsqu’il ne sert pas. Le vidéoprojecteur est placé en face, au-dessus du canapé.
Peinture rose de la bibliothèque : Argile ; Table basse : Muuto ; Spots orientables plafond salon : Made ; Cache-pot, Ames, Circo ; Enceinte connectée : Devialet Phantom avec Treepod
Sur sa droite, au-dessus de la baie, Lara a fait placer un écran de vidéoprojection dissimulé dans un carter blanc lorsqu’il ne sert pas. Le vidéoprojecteur est placé en face, au-dessus du canapé.
Peinture rose de la bibliothèque : Argile ; Table basse : Muuto ; Spots orientables plafond salon : Made ; Cache-pot, Ames, Circo ; Enceinte connectée : Devialet Phantom avec Treepod
Après. Pour placer le piano, Lara a fait supprimer l’un des radiateurs. Plomberie et électricité ont d’ailleurs été largement revues à ce niveau, suite au décloisonnement complet.
« Cette suppression n’avait pas de conséquence au niveau thermique car le promoteur avait largement dimensionné le système de chauffe. En revanche, nous avons attendu que l’hiver soit fini pour faire réaliser ces travaux qui imposent de vider le réseau d’eau du chauffage central », explique-t-elle.
Ventilateur : Dyson
« Cette suppression n’avait pas de conséquence au niveau thermique car le promoteur avait largement dimensionné le système de chauffe. En revanche, nous avons attendu que l’hiver soit fini pour faire réaliser ces travaux qui imposent de vider le réseau d’eau du chauffage central », explique-t-elle.
Ventilateur : Dyson
Côté salon, les propriétaires ont choisi un canapé d’angle de couleur claire tandis que la pro a préconisé une seconde bibliothèque pour habiller le mur. Elle a été réalisée en médium à peindre, avec des formes tout en rondeur comme la précédente.
Canapé : Poltrone Sofa ; Lampadaire, Headlight, Ligne Roset (design : Lara Grand)
Canapé : Poltrone Sofa ; Lampadaire, Headlight, Ligne Roset (design : Lara Grand)
En regagnant l’étage pour visiter les chambres, Lara nous explique qu’elle a fait habiller l’intérieur de l’escalier de rayonnages afin d’optimiser au maximum le rangement.
Sur l’autre face qui a servi à implanter le dressing, elle a décloisonné la partie haute pour faire passer la lumière. Afin que l’escalier ne soit pas dangereux pour les jeunes enfants, elle a habillé le garde-corps d’un cordon textile utilisé en tapisserie, passé en quinconce dans des œillets en laiton : « La note couture, clin d’œil à l’univers professionnel de mes clients », nous glisse-t-elle.
Avant. À l’étage, le penthouse présentait trois chambres et une salle de bains. Lara n’a pas touché à la salle de bains proposée par le promoteur et assez peu au cloisonnement, mais ses interventions chirurgicales ont permis de changer elles aussi la face de l’étage.
Après. Un bureau est venu s’ajouter au fond du couloir et la chambre des propriétaires a gagné une vue de choix !
Après. Le fond du couloir qui dessert les chambres était inoccupé mais disposait de cette grande porte-fenêtre orientée plein sud. Lara a profité d’un renfoncement côté droit pour créer le bureau du propriétaire.
Comme a l’étage inférieur, l’architecte d’intérieur a cherché à retrouver de la perspective et tirer parti de la grande baie vitrée. Elle a donc créé cette ouverture afin que le propriétaire travaille face à une vue imprenable. Les rangements à l’arrière ont été pris sur la superficie de la chambre du bébé en rognant sur un placard existant.
Une suspension est venue agrémenter la trémie existante. Son interrupteur sans fil radiocommandé a permis de contourner le problème du passage des fils électriques qui n’avaient pas été prévus ici.
Suspension trémie : Vibia, Wireflow
Une suspension est venue agrémenter la trémie existante. Son interrupteur sans fil radiocommandé a permis de contourner le problème du passage des fils électriques qui n’avaient pas été prévus ici.
Suspension trémie : Vibia, Wireflow
La chambre des propriétaires disposait d’un balcon privatif de 4 m² donnant à l’ouest (à droite du lit) mais elle était complètement cloisonnée du côté de la vue dégagée au sud et sud-ouest. Lara a trouvé une astuce pour lui faire profiter de la vue : elle a ouvert le mur au pied du lit pour récupérer un visuel sur la partie haute de la baie vitrée du salon.
Le couple a choisi un papier peint panoramique à l’ambiance tropicale pour agrémenter sa tête de lit. « Il s’agit d’une gravure ancienne en noir et blanc de Charles Barbant, un illustrateur du début du XXe, qui évoque l’Oasis de Gafsa à Tunis », précise Lara. Une invitation au voyage et à la rêverie !
Papier peint : Panneau Oasis, Les Dominotiers chez Au fil des Couleurs ; Suspensions : It’s about Romi, Zagreb
Papier peint : Panneau Oasis, Les Dominotiers chez Au fil des Couleurs ; Suspensions : It’s about Romi, Zagreb
Lorsqu’ils ont acheté l’appartement, les propriétaires avaient déjà un petit garçon. Rassurés par l’intervention de leur architecte d’intérieur, ils lui ont annoncé en cours de chantier qu’un bébé allait pointer le bout de son nez : « Nous avons tous senti qu’il y avait de bonnes ondes ici une fois l’appartement décloisonné », plaisante Lara. Les deux chambres restantes ont donc été aménagées, l’une pour un garçon de 6 ans avec un lit cabane, et l’autre pour le bébé, avec un lit de famille.
Papier peint chambre bébé : Feather Fan de Cole & Son
Papier peint chambre bébé : Feather Fan de Cole & Son
« Ce duplex neuf a été pour moi un magnifique terrain de jeu. Il était comme une coquille incroyable sur laquelle on n’avait encore posé aucune intention. Le travail semblait avoir été fait à moitié et c’était professionnellement un vrai défi d’optimiser cet intérieur. Je retiendrai aussi le plaisir que j’ai eu d’aider ces propriétaires absolument adorables à reprendre confiance dans le potentiel de leur investissement », conclut Lara Grand.
ET VOUS ?
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